Oh what fun we have with the nonsense that flows out of the mouth of Donald J. Trump. The man is suffocatingly banal, racist, dishonest, inarticulate, uninformed, uneducated, narcissistic, a bully, just plain stupid, and an asshole (or in the immortal words of my people — a schmuck!). I would guess that as the boss of his own enterprises for many years, with the power and the habit of firing people, he eventually became deeply accustomed to not having his thoughts seriously questioned or challenged, to the extent that he really believes the crap that comes out of his mouth and doesn’t really understand what others actually think of him.
But if we look at what comes out of the mouth of The Barack is there any reason to castigate The Donald for his supposedly outrageous or weird way of expressing himself? Here’s a sample:
— On numerous occasions, in reply to a question about why his administration has not prosecuted the Bush-Cheney gang for mass murder, torture and other war crimes, former law professor Obama has stated: “I prefer to look forward rather than backwards.” Picture a defendant before a judge asking to be found innocent of any crime on such grounds. On other occasions, Obama, without apparent embarrassment, has stated that “nobody is above the law”. (A public figure can be labeled stupid not just for saying or doing stupid things, but for not even realizing that the public will SEE his words or actions as stupid.)
- Lorsqu'on lui a demandé s'il s'excuserait pour le rôle de Washington dans le coup d'État militaire du Chili de 1973 qui a renversé le gouvernement démocratiquement élu et l'a remplacé par une dictature, Obama a répondu: «Je suis intéressé à aller de l'avant, pas en arrière. Je pense que les États-Unis ont été une énorme force pour le bien dans le monde. (23 juin 2009)
- Question de CNN, 2008: "Pensez-vous que les États-Unis devraient s'excuser pour les erreurs qu'ils ont commises dans le passé?" Réponse d'Obama: "Je ne pense pas que les États-Unis devraient jamais s'excuser pour quoi que ce soit."
- Discours d'Obama à l'Assemblée générale des Nations Unies le 24 septembre 2014 où il a classé la Russie comme l'une des trois grandes menaces pour le monde avec l'État islamique et le virus Ebola.
— Obama’s declaration that ISIS “has nothing to do with Islam”. This is standard political correctness which ignores the indisputable role played by Islam in inspiring Orlando and Long Beach and Paris and Ankara and many other massacres; it is the religion that teaches the beauty and godliness of jihad and the heavenly rewards of suicide bombings.
- Après l'abattage intentionnel par la Turquie d'un avion de guerre russe le long de la frontière turco-syrienne, au lieu de réprimander la Turquie, membre de l'OTAN, pour son comportement absolument imprudent - ou d'exprimer sa sympathie aux Russes - Obama a affirmé que «la Turquie, comme chaque pays a le droit de défendre son territoire et son espace aérien. »(24 novembre 2015) La Turquie s'est par la suite excusée auprès de la Russie, mais Obama ne l'a pas fait.
- En septembre 2013, Obama s'est présenté devant les Nations Unies et a déclaré: «Je crois que l'Amérique est exceptionnelle.»
- Le 9 mars 2015, Obama a déclaré que le Venezuela était «une menace inhabituelle et extraordinaire pour la sécurité nationale et la politique étrangère des États-Unis».
- Obama a évoqué «le principe qu'aucun pays n'a le droit d'envoyer des troupes dans un autre pays sans provocation» (3 mars 2014) (Nos dirigeants n'ont-ils pas de mémoire ou pensent-ils que nous avons tous perdu la nôtre?)
- "Je suis doué pour tuer." (Imaginez simplement Trump en train de dire cela.) Obama a revendiqué le pouvoir d'assassiner n'importe qui n'importe où par drone. Nixon avait une liste d'ennemis, mais ce roi des drones a une liste de mise à mort personnelle. L'utilisation de drones par Obama contre les dirigeants djihadistes, et toute autre personne qui se trouve être trop proche, a essentiellement annulé le principe directeur établi dans la Magna Carta il y a 800 ans - la présomption d'innocence.
- Imaginez aussi The Donald plaisantant - comme Obama l'a fait - à propos de l'utilisation d'un drone sur les petits amis de ses filles: "Ils ne sauront jamais ce qui les a frappés."
- Obama, discours sur l'état de l'Union, 2012: «Cette génération de héros a rendu les États-Unis plus sûrs et plus respectés dans le monde.»
- Le 28 mai 2012, le président a déclaré que le Vietnam était «l'une des histoires les plus extraordinaires de bravoure et d'intégrité dans les annales de l'histoire militaire [américaine]».
- Après avoir repris la Maison Blanche en 2009, Obama a qualifié l'Afghanistan de «bonne guerre»
- Obama, expliquant la dévastation de la Libye par les États-Unis et l'OTAN en 2011, la transformant du niveau de vie le plus élevé de l'Afrique en un État désespéré en faillite, sur la base de rapports inventés sur Khaddafi commettant des atrocités: yeux sur les atrocités dans d’autres pays. Les États-Unis d'Amérique sont différents. » (28 mars 2011)
- A déclaré Obama: Un refus américain d'intervenir en Libye serait «une trahison de qui nous sommes». (Si vrai.)
- En mars 2011, alors que le bombardement américain / OTAN du peuple libyen se poursuivait, jour après jour, la Maison Blanche a insisté sur le fait qu'il s'agissait «d'une intervention humanitaire limitée, et non d'une guerre».
- «Toutes les forces que nous voyons à l'œuvre en Égypte sont des forces qui devraient naturellement être alignées avec nous, devraient être alignées sur Israël - si nous prenons de bonnes décisions maintenant et que nous comprenons en quelque sorte le balayage de l'histoire.» (4 mars , 2011) L'Égypte est rapidement devenue une dictature brutale.
- Discours sur l'état de l'Union, 2011: «Et nous avons envoyé un message… à toutes les régions du globe: nous ne céderons pas, nous ne faiblirons pas et nous vous vaincrons.»
- Obama: "Je ne suis pas quelqu'un qui néglige la sincérité et la valeur des préoccupations du président Bush concernant la démocratie et les droits de l'homme." (Washington Post, 19 janvier 2009)
- Obama: «Le président Bush avait raison de dire que le programme de missiles balistiques de l'Iran représente une menace importante [pour l'Europe et les États-Unis].» (30 septembre 2009)
— “I believe that Christ died for my sins and I am redeemed through him. That is a source of strength and sustenance on a daily basis.” (Obama, Washington Post, August 17, 2008)
- 22 juin 2009: Obama déclare que l'Amérique est «pleinement préparée» à toute action de la Corée du Nord. (Dieu merci, après les attaques nucléaires de la Chine et de la Russie, c'était formidable de ne pas avoir à s'inquiéter pour la Corée du Nord. Mais il y avait toujours l'Iran.)
— Obama, speaking about Russia, July 7: “In 2009, a great power does not show strength by dominating or demonizing other countries. The days when empires could treat sovereign states as pieces on a chess board are over.”
- Lors d'une visite à Bagdad le 7 avril 2009, Obama a félicité l'armée américaine pour son «accomplissement extraordinaire» en Irak.
- Obama: «Pour assurer la prospérité ici au pays et la paix à l'étranger, nous partageons tous la conviction que nous devons maintenir l'armée la plus forte de la planète.» (1 décembre 2008)
- S'exprimant lors d'une session conjointe du Congrès: «Je peux me tenir ici et dire sans exception ni équivoque que les États-Unis ne torturent pas.» (Washington Post, 24 février 2009)
- «Il n'y a pas d'espionnage sur les Américains. Nous n'avons pas de programme d'espionnage national. » (Obama sur le Ce soir Show, Août 7, 2013)
- À peine 18 jours avant le désastreux déversement de pétrole dans le Golfe en 2010, Obama a déclaré: «Il s'avère, d'ailleurs, que les plates-formes pétrolières d'aujourd'hui ne provoquent généralement pas de déversements. Ils sont technologiquement très avancés. (Washington Post, 27 mai 2010)
- Le discours d'encouragement d'Obama en décembre 2010 aux troupes américaines en Afghanistan dans lequel il les a vantés comme «la meilleure force de combat que le monde ait jamais connue». (George W. Bush: l'armée américaine est «la plus grande force de liberté de l'histoire du monde» et «la plus grande force de libération humaine que le monde ait jamais connue.») Essayez de dépasser ces lignes, Donald.
- En tant que candidat à la présidentielle en 2008, Obama a salué les lanceurs d'alerte comme «faisant partie d'une démocratie saine [qui] doit être protégée contre les représailles». En 2012, la campagne de réélection du président Barack Obama se vantait sur son site Web qu'il avait poursuivi plus de lanceurs d'alerte au cours de son premier mandat que tous les autres présidents américains réunis.
- L'affirmation d'Obama selon laquelle les États-Unis sont «depuis près de sept décennies le point d'ancrage de la sécurité mondiale». (10 septembre 2013)
- «Toutes les bombes à retardement sont utilisées pour cibler des civils innocents, c'est un acte de terreur.» (16 avril 2013); «J'ai été élu pour mettre fin aux guerres, pas pour les déclencher. J'ai passé les quatre dernières années et demie à faire tout ce que je pouvais pour réduire notre dépendance à l'égard de la puissance militaire comme moyen de respecter nos obligations internationales et de protéger le peuple américain. (4 septembre 1); «En fin de compte, rien d’important, aucun avantage ne résulte d’actes destructeurs.» (2 novembre 6)
Ainsi parlait l'homme qui avait mené des attaques militaires contre l'Afghanistan, l'Irak, le Pakistan, la Somalie, la Libye, le Yémen et la Syrie.
- Obama (CBS News, 13 février 2013): «J'exhorte ce Congrès à proposer une solution bipartite et basée sur le marché au changement climatique.»
Sam Smith a demandé: «Veut-il également, par exemple, une solution bipartisane au cancer basée sur le marché?
- Dans son livre «L'audace de l'espoir», Obama a écrit: «Je sers d'écran blanc sur lequel des gens aux tendances politiques très différentes projettent leurs propres points de vue.»
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1 Commentaires
Thanks, I’m glad someone has been collecting his gems. Dewey and K Burke used the term “trained incapacity” and ‘occupational psychosis’ to explain the capacity for such metaphorical ‘blindness’ or schizoid thought and deliberate chameleon-like behavior.