"Il ya beaucoup de façons de parler de la télévision. Mais dans une perspective business, soyons réaliste: a la base, le métier de TF1, c'est d'aider CocaCola, par exemple, à vendre son produit.[…] Pe sasaa qu'un message publicitaire soit perçu, il faut que le cerveau du téléspectateur soit disponible. Nos émissions ont pour vocation de le rendre disponible: c'estàdire de le divertir, de le detendre pour le préparer entre deux messages. Ou te le'i fa'atau atu i CocaCola, o le taimi lea e mafai ai e le tagata ona maua".
Patrick Le Lay, PDG de TF1, Les dirigeants feagai ma au suiga, 2004
"O le mea e sili ona lelei o le fa'amatalaga o le tusitalafa'atasi ma le fa'afaigofieina o itulau e fa'asalalau ai le fa'asalalauga. page de publicité est plus grand [rires]".
Claude Perdriel, pule o le Nouvel Observateur, Fuafuaga, 16 Tesema 2004
"Dans les salons réservés aux VIP, le champagne coule à flot depuis 18h30. Les sondeurs ne peuvent plus se tromper. On ne fête pas la fin d'une campagne electoral, on fête bien l'election de Nicolas." (…) "Sur le plateau, Claire et Patrick ont voulu également se joindre à la fête and not pas attendu 20 heures pour déboucher le champagne, sous le nez de dizaines de techniciens éberlués par autant d'indécence".
Collectif Patrick Le Bel, cinq tusitala o le TF1 'Madame, Monsieur, Bonsoir…', les dessous du premier JT de France" (Editions Panama, 168 itulau, 15 euros)
« Il ya toujours eu des journalistes qui se battent dans les rédactions. Il ya des gens honnêtes qui empêchent cette évolution d'aller trop loin. I le TF1, e le o se mea na tupu ia te oe ma le "jean-pierre pernisme", o le tala lea a le au tusitala, o Patrick Poivre d'Arvor, o le mea lea, o le mea moni! »
Philippe Val, Patron de Charlie Hebdo, mekasini TOC, Fepuari 2005
Alors que dans la phase primitive de l'accumulation capitaliste « l'economie politique ne voit dans leprolétaire que l'ouvrier », qui doit recevoir le minimum indispensable pour la conservation de sa force de travail, sans jamais le considérer « dans ses loisirs, dans son humanité », cette position des idées de la classe dominante se renverse aussitôt que le degré d'abondance atteint dans la production des marchandise exige un surplus de collaboration de l'ouvrier. Cet ouvrier soudain lavé du mépris total qui lui est clairement signifié par toutes les modalités d'organisation and surveillance of la production, se retrouve chaque jour en dehors de celle-ci apparemment traité comme un grande personne, avec une politesse le déguise, soument du consommateur. Alors, l'humanisme de la marchandise prend en charge « les loisirs et l'humanité » du travailleur, tout simplement parce que l'économie politique peut et doit maintenant dominer ces sphères en tant qu'économie politique. Ainsi "le reniement achevé de l'homme" a pris en charge la totalité de l'existence humanine.
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Le faux choix dans l'abondance spectaculaire, choix qui reside dans la juxtaposition de spectacles concurrentiels et solidaires comme dans la juxtaposition des rôles (principalement signifiés et portés par des objets) qui sont à la fois exclusifs et selut i fantomatiques destinées à passionner l'adhésion à la trivialité quantitative. Ainsi renaissent de fausses oppositions archaïques, des régionalismes ou des racismes charges de transfigurer en supériorité ontologique fantastique la vulgarité des places hiérarchiques dans la consommation. Ainsi se recompose l'interminable série des affrontements dérisoires mobilisant un intérêt sousludique, du sport de compétition aux elections. Là où s'est installé la consommation abondante, une opposition spectaculaire principale entre la jeunesse et les adultes vient en premier plan des rôles fallacieux : car nulle part il le ola o le tagata matua, maître de sa vie, et la jeunesse, le suiga de ce qui existe, n'est aucunement la propriété de ces hommes qui sont maintenant jeunes, mais celle du système économique, le dynamisme du capitalisme. Ce sont des choses qui règnent et qui sont jeunes ; qui se chassent et se remplacent elles mêmes.
Guy Debord, La Société du spectacle, 1967
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Nous appelons enfin les enfants, les jeunes, les parents, les anciens et les grands-parents, les educateurs, les autorités publiques, à une véritable insurrection pacifique contre les moyens de communication de masse qui ne proposent comme je sorisone pour notre la constitution marchande, le mépris des plus faibles et de la culture, l'amnésie généralisée ma le compétition à outrance de tous contre tous. Nous n'acceptons pas que les principaux médias soient désormais contrôlés par des intérêts privés, contrairement au program du Conseil national de la Résistance ma aux ordonnances sur la presse o le 1944.
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Talosaga mo le faamanatuina o le 60 tausaga o le Polokalama a le Conseil National de la Résistance i le 15 Mati 1944
Lucie Aubrac, Raymond Aubrac, Henri Bartoli, Daniel Cordier, Philippe Dechartre, Georges Guingouin, Stéphane Hessel, Maurice Kriegel-Valrimont, Lise Lonetona, Georges Séguy, Germaine Tillion, Jean-Pierre Vernant, Maurice Voutey
O le ZNetwork o loʻo faʻatupeina naʻo le agalelei o ana tagata faitau.
lafo