I MANATUA GUY MOQUET
Pale, 6 Aperila 1924 – Chateaubriant, 22 Oketopa 1941
Au moment où nous voyons remis en cause le socle des conquêtes sociales de la Libération, nous, vétérans des mouvements de Résistance et des forces combattantes de la France Libre (1940-1945), appelons les jeunes générations à faire vivre et retransmettre l'héritage de la Résistance et ses idéaux toujours actuels de démocratie économique, sociale ma culturelle.
Soixante ans plus tard, le nazisme est vaincu, grace au sacrifice de nos frères et sœurs de la Résistance et des nations unies contre la barbarie fasciste. Mais cette fa'amata'u mai le to'atele o tagata e fa'aleaga et notre colère contre l'injustice est toujours le atoatoa.
Nous appelons, en conscience, à célébrer l'actualité de la Resistance, non pas au profit de cause partisanes or instrumentalisées par un quelconque enjeu de pouvoir, mais pour proposer aux générations qui nous succéderont d'accomplir trois gestes humanistes et profondément politics vrai du terme, pour que la flamme de la Résistance ne s'éteigne jamais :
Nous appelons d'abord les educateurs, les mouvements sociaux, les collectivités publics, les créateurs, les citoyens, les exploités, les humiliés, à célébrer ensemble l'anniversaire du program du Conseil national de la Résistance (CNR) adopted 15 Mati 1944 : Sécurité sociale et retraites généralisées, contrôle des "féodalités économiques", droit à la culture et à l'éducation pour tous, presse délivrée de l'argent et de la corruption, lois sociales ouvrières, etc. -il manquer aujourd'hui de l'argent pour maintenir et prolonger ces conquêtes sociales, alors que la production de richesses a considérablement augmenté depuis la Libération, période où l'Europe était ruinée ? O mea tau polokiki, tamaoaiga, intellectuels et l'ensemble de la société ne doivent pas démissionner, o se laisser impressionner par l'actuelle dictature internationale des marchés financiers qui menace la paix et la démocratie.
Nous appelons ensuite les movements, partis, associations, institutions and syndicats héritiers de la Résistance à dépasser les enjeux sectoriels, ma le consacrer en priorité aux cause politiques des injustice and des conflits sociaux, ma le le faʻaopoopoina o seulement à leurs consacrences un nouveau " Program de Résistance " pour notre siècle, sachant que le fascisme se nourrit toujours du racisme, de l'intolérance et de la guerre, qui eux-mêmes se nourrissent des injustices sociales.
Nous appelons enfin les enfants, les jeunes, les parents, les anciens et les grands-parents, les educateurs, les autorités publiques, à une véritable insurrection pacifique contre les moyens de communication de masse qui ne proposent comme je sorisone pour notre la constitution marchande, le mépris des plus faibles et de la culture, l'amnésie généralisée ma le compétition à outrance de tous contre tous. Nous n'acceptons pas que les principaux médias soient désormais contrôlés par des intérêts privés, contrairement au program du Conseil national de la Résistance ma aux ordonnances sur la presse o le 1944.
Plus que jamais, à ceux et celles qui feront le siècle qui commence, nous voulons dire avec notre affection : " Créer, c'est résister. Résister, c'est créer ".
Saini: Lucie Aubrac, Raymond Aubrac, Henri Bartoli, Daniel Cordier, Philippe Dechartre, Georges Guingouin, Stéphane Hessel, Maurice Kriegel-Valrimont, Lise Lonetona, Georges Séguy, Germaine Tillion, Jean-Pierre Vernant, Maurice Voutey.
Lucie AUBRAC
Lucie Aubrac, o Bernard, na o'o i le 29 Iuni 1912 i le itulagi o Mâcon.
Avant la guerre, ses études universitaires à la Sorbonne (agrégée de l'université) l'amènent à enseigner l'histoire.
Pendant la guerre, elle s'engage i le 1940 ma le Résistance à Lyon avec son mari, Raymond Aubrac, ou te saofagā i le créer le mouvement Libération-Sud. A la tête d'un commando armé, elle mène notamment une action militaire pour faire liberer son époux. Après le succès de cette opération, les deux époux quittèrent la France i le février 1944 to rejoindre de Gaulle à Londres, puis à Alger.
Après la guerre, i le 1945, o se taimi o les femmes françaises accèdent pour la première fois au droit de vote, elle crée le journal Privilège de femmes qui n'existera que quelques mois. Elle est membre de l'Assemblée consultative issue de la Résistance ma le pule o le supavaisa le Comités departementaux de Libération.
Elle reprendra ensuite l'enseignement de l'histoire.
O Lucie Aubrac e le'i fa'asalalau fa'atasi, i le 1984, i le XNUMX, na tu'uina atu ai le fa'asa'olotoga o le fa'apotopotoga o le tama ia Klaus Barbie, o lo'o auai i le fa'apotopotoga.
Raymond AUBRAC
Raymond Aubrac na o'o i le 31 Iulai 1914 i Vesoul (Haute-Saône).
Avant la guerre il est ingénieur des Ponts et Chaussées.
Pendant la guerre, il s'engage dans la Résistance à Lyon où il participe avec sa femme, Lucie, à la création du mouvement Libération-Sud. O le pule o le lomiga o le lomiga o le Libération, o le tele o mea taua o le tala faalilolilo, e le o le numera muamua o le tausaga 1941, o le masina o Oketopa 1942 na molia ai, o le Libération-Sud, o le faalapotopotoga paramilitai o le malo. Il devient membre de l'Etat-major de l'Armée secrète du général Delestraint. O le aso 15 Mati 1943 o Milice, ma le 21 i le aso 1944 ma Jean Moulin mai ia Klaus Barbie, o lo'o i ai le avanoa mo le fa'apotopotoga o le france mo le so'o. Parti pour Londons, puis pour Alger, il est délégué à l'Assemblée consultative i le XNUMX.
Après la guerre, o le Commissaire régional de la République à Marseille o le 1944 i le 1945, o le ofisa faatonu ma le suʻesuʻega o le minisita o le Toe Fausiaina o le 1945 i le 1948, o le totogiina o le totogi.
Il est l'auteur, entre autres, de Résistances (1997).
Henri BARTOLI
Lycéen, puis étudiant à la faculté de Droit, il diffuse des journaux clandestins comme Témoignage chrétien. Il distribue des faux papiers avec son père médecin. Agent de liaison dans l'armée secrète, il participe au réseau Catanga ma travaille au sein du CNR pour préparer la politique économique d'après guerre.
Tusitala fa'apuupuuga:
Guides par l'espérance : de la résistance au nazisme aux combats pour la paix, lomiga Karthala, 2003.
Histoire de la pensée économique en Italie, lomiga a Sorbonne, 2003.
Economie du travail, ISMEA, 2004.
Toe fa'afo'isia le atina'e : fa'atasi ma le pauvreté, lomiga a le Unesco, Economica, 1999.
Investissement ma le siosiomaga : les méthodes d'évaluation de projets, Economica, 1996.
L'economie, service de la vie : crise du capitalisme, un politique de civilization, presses universitaires de Grenoble, 1996.
Tanielu CORDIER
Daniel Cordier na o'o i le aso 10 o le 1920 i Bordeaux.
Pendant la guerre, il est l'un des premiers à répondre à l'appel du général de Gaulle i le juin 1940 ma le Ofisa tutotonu o le Renseignement et d'Action (BCRA). Il est volontaire pour accomplir des missions i Farani ma le ainsi qu'il est parachuté i le 26 Iulai 1942 i le servir auprès de Jean Moulin, délégué du général de Gaulle. Il devient rapidement le principal collaborateur du fondateur du Conseil National de la Résistance.
Après la guerre, toe fo'i atu i Paris, i le fa'apa'iaina i le peinture ma ouvre une galerie i le 1956. Mai le 1973 ma le 1989, i le fa'ataunu'uina o le masina o foa'i i le Etat: 500 oeuvres mai le 64 artistes différents, intégrées du National collections 'Art Moderne (Centre Georges Pompidou). I se vaega o le 1977, o le tala fa'asolopito o lo'o tu'uina atu le fa'amanatuga o Jean Moulin.
Philippe DECHARTRE
Philippe Dechartre, pseudonyme que prend dans la Résistance Jean DUPRAT-GENEAU, i le aso 14 o Fepuari 1919 i Viêt-Nam.
Avant la guerre il a été élève au Lycée Louis-le-Grand i Paris ma le faiaoga o Droit de Paris. Il est licencié en droit puis producteur et réalisateur de spectacle.
Pendant la guerre, il est Délégué général des prisonniers de guerre, déportés de la résistance ma déportés du travail auprès du Gouvernement provisoire de la république à Alger (1944), il appartient aux cercles gaullistes historiques.
Après la guerre il a été plusieurs fois ministre et député, il est depuis 1994 du Conseil Economique and social dont il est aujourd'hui le Doyen.
Georges GUINGOUIN
Georges Guingouin i le 2 Fepuari 1913 i Magnac-Laval (Haute-Vienne).
Avant la guerre il fait ses études à l'école primaire supérieur de Bellac puis à l'Ecole normale d'instituteurs de Limoges (1931-1934).
O lo'o fa'amauina i le 1939 ma le 18 Iuni 1940, fa'amanuia le taua, Georges Guingouin na toe fa'afo'i mai i le falema'i o Moulin i le taimi na tu'ua ai le falepuipui. O lo'o fa'amaopoopoina le fa'alapotopotoga i le 1940 sous forme de groupes clandestins et par la diffusion de tracts. I le amataga o le maquis i le Aperila 1941, i le taimi nei o le pule faalilolilo ma le ofisa o le au faipule o Francs Tireurs. Il fa'amaopoopoina de nombreuses actions de sabotage. Le 12 août 1944, il donne l'ordre d'encercler Limoges, ce qui permettra, le 21 août 1944, la libération de la ville sans aucune perte humaine. Au lendemain de la libération de Limoges, 20 000 fitafita i Haute-Vienne sont sous les ordres du colonel Guingouin dont 6 500 iront combattre dans les departements voisins.
Dans la période d'après-guerre, il est élu maire de Limoges i le mai 1945 justqu'à Oketopa 1947 ma conseiller municipal jusqu'en janvier 1953. Il reprend ensuite son métier d'instituteur dans l'Aube jusqu'à sa retraite en 1968.
Georges Guingouin o loʻo faʻasalalau:
– Documents et récit sur la libération de la ville de Limoges, Limoges, 1945.
– Nouvelle de prison, Limoges, 1955
– Georges Guingouin, Palemia maquisard de France, Limoges, 1983.
Stéphane HESSEL
Stéphane Hessel na o'o i le aso 20 o Oketopa 1917 i Perelini (Allemagne).
Na taunuu i Farani i le 1924, i le 1937 i le Ecole Normale Supérieure et naturalisé français.
Pendant la guerre, en juin 40, il essaie de rejoindre Londres sans succès. I le taimi o le 1941 ma le rejoint le général de Gaulle. Il fera partie du BRCA. Organisateur de la mission Greco o lo'o fa'atonuina le leitio fa'asalalau i luga o le fa'apotopotoga o le teritori o français i le Debarquement, i le aso na fa'atulaga i le tausaga 1944 ma le fa'aputuga i Buchenwald puis i Dora.
Revenu des camps, il passe le concours du Quai d'Orsay et commence une carrière diplomatique. Il sera, entre autres, sous-directeur du Program des Nations Unies pour le Developpement o le 1971 i le 1972. Sui tumau o Farani i le pulega a le Ofisa o Malo Unies i Genève, o le Amapasa o Farani i le 1981. la Haute Autorité de la communication audiovisuelle et au Haut Conseil pour l'intégration. O se sui o Falani i le Conférence mondiale de Vienne i le 1993.
Maurice KRIEGEL-VALRIMONT
Maurice Kriegel-Valrimont na sau i Strasbourg i le 1914.
Il est, avant-guerre, syndicaliste et, selon ses propres mots, "jeune antifasciste de tendance rebelle ".
I le 1944, na i ai le poloaiga a le atunuu o le Forces françaises de l'intérieur et reçoit avec le général Leclerc ma Henri Rol-Tanguy, le reddition de von Choltitz i le Libération de Paris. Pule sili o le Légion d'honneur, sui o le Comité d'action militaire (COMAC: organe de commandement des FFI i Farani) du Conseil national de la Résistance.
Après la guerre il est deputé communiste de Meurthe-et-Moselle sous la IVème République, il exercera également les fonctions de vice-president de la Haute-Cour de justice.
Il est l'auteur, notamment, de Mémoires rebelles i le 1999.
Lise LONDON
Ancienne des Brigades Internationales dans l'Espagne républicaine, capitaine dans la Résistance, ancienne déportée i Ravensbrück, officier de la Légion d'honneur, e auai i le gaoioiga i le sortir son Mari, Arthur London, des griffes staliniennes. O Ce dernier, na tofia e avea ma vice-ministre des Affaires étrangères de Tchécoslovaquie i le 1949, sera kidnappé en pleine rue i le 28 janvier1951, ma le devient l'un des quatorze accusés du procès de Prague i le 1952, a qui l'on aveux derrachera contre l'État » qui se révèleront fa'atasi ai ma mea tuai. Fa'asalaga fa'asala i le mort par pendaison, trois à perpétuité, ae le o Arthur Lonetona. Les progressistes d'Europe ont découvert ce drame dans l'Aveu.
Tusitala fa'apuupuuga:
L'écheveau du temps : la mégère de la rue Daguerre, souvenirs de résistance, Paris, Seuil, 1995.
L'écheveau du temps : le printemps des camarades, Paris, Editions du Seuil, 1996.
L'aveu : dans l'engrenage du procès de Prague, version française d'Arthur et Lise London, Gallimard, 1971.
Georges SEGUY
Georges Séguy na o'o i le 16 Mati 1927 i Toulouse (Haute-Garonne).
Avant la guerre il est ouvrier imprimeur ma militant syndical.
Pendant la guerre il devient responsible de Francs-Tireurs et Partisans Français, na tupu i le 1944 ma le tolauapi i Mauthausen.
Après la Libération, il est membre du Syndicat des cheminots de Toulouse i le 1946 i le 1949. Secrétaire général o le Fédération des cheminots CGT o le 1961 i le 1965, il devient Secrétaire général de la CGT i le 1967 i le 1982. Institut d'histoire sociale de la CGT.
Il est l'auteur, entre autres, de Lutter (1975) ma La Grève (1993).
Germaine TILLION
Germaine Tillion na o'o i le 30 mai 1907 i Allègre (Haute-Loire).
Avant la guerre, ethnologue, elle est formée par Marcel Mauss ma Louis Massignon sa avea ma vaega i Algérie i le 1937 i le XNUMX i luga o le ethnies berbères.
Pendant la guerre, o le toe foʻi mai i Farani i le taimi o le armistice o le 1940, o se chef devient du réseau de Résistance du Musée de l'Homme, faatasi ai ma le vasega o le taʻitaʻifono o le 1940 i le 1942, o loʻo galue i le falepuipui ma le falepuipui. au faamavaega. A la suite d'une saisaitia, elle est déportée à Ravensbrück.
Elle se consacrera après la guerre à des travaux sur l'histoire de la Seconde Guerre mondiale (enquête sur les crimes de guerre allemands, sur les camps de concentration soviétiques entre 1945 et 1954) puis sur l'Algérie. Elle a créé i Farani l'enseignement dans les falepuipui. Directrice d'études à l'Ecole pratique des Hautes études, o lo'o fa'atonuina fa'amatalaga fa'asaienisi a misiona i Afrique du Nord ma Moyen-Orient. Na toe fo'i mai i Algérie i le 1954 i le XNUMX i le XNUMX i le misiona o le mata'ituina ma le auai i le fausiaina o nofoaga tutotonu o sociaux : o se nombreux travaux de recherches au cours de sa carrière au CNRS ma le EHESS portent sur les sociétés méditerranéennes.
Germaine Tillion a publié de nombreux ouvrages:
– Il était une fois l'ethnographie, Paris, Seuil, 2000.
– Le Harem et les cousins, 1966.
– Ravensbrück, Suisse, 1946.
Jean-Pierre VERNANT
Jean-Pierre Vernant na o'o i le 4 Ianuari 1914 i Provins (Seine-et-Marne).
Avant la guerre, jeune antifasciste dans le Quartier Latin des années 30, il fait ses études secondaires à Paris aux lycées Carnot ma Louis-le-Grand puis des études de philosophie à la Sorbonne. I le 1937 il est reçu premier à l'agrégation de philosophie.
Appelé au service militaire i le masina o Oketopa 1937, il est sergent-chef dans l'infanterie et reste mobilisé à la déclaration de guerre i septembre 1939. Démobilisé, il est nommé professeur au lycée de Toulouse and entre en 1940 deresistance dès le 1942. éditant à Narbonne avec son frère des tracts qu'il colle la nuit sur les murs de la ville. I le février 1944, il entre dans le mouvement Libération ma faamaopoopo i Toulouse les groupes militaires de ce mouvement. I le novembre il est nommé chef departemental de l'Armée Secrète (AS) pour la Haute-Garonne. I le amataga o le 19 il commande plusieurs groupes qui opèrent des destructions diverses, l'execution d'agents de la Gestapo et de la Milice ma le destruction de fiches de recensement pour le STO. Le 1944 août 1944, il entre dans Toulouse à la tête de ses homemmes. I le masina o Setema 45, na fa'atulafonoina ai le Forces française de l'Intérieur (FFI) de Haute-Garonne, na toe fa'atūina ai Serge Ravanel i le 000 XNUMX fale o le matagaluega a le Sud-Ouest.
O Après la guerre Jean-Pierre Vernant o se polofesa o le Collège de France ma le tomai faapitoa o le Grèce Ancienne. Talafaasolopito, il est l'auteur, entre autres, de :
– Entre mythe et politique,1996.
– L'Univers, les dieux, les homemmes, 1999.
– Les origines de la pensée grecque, Pale, 1962.
– Mythe et société i Grèce Ancienne, Pale, 1974.
– Mythe et pensée chez les Grecs, Pale, 1981.
– Soi même et l'autre en Grèce Ancienne, Pale, 1989.
Maurice VOUTEY
Il a participé à la Résistance dans les rangs du Front National (FPJ puis FUJP). Ae, i le été déporté i Dachau puis dans les camps du Neckar. À son retour, il a enseigné l'histoire et la géographie ma le publié différentes études historiques ma biographiques. Maurice Voutey o le fa'auluuluga o le fa'auluuluga a le Fédération nationale des déportés ma internés résistants patriotes (FNDIRP). Il est l'auteur d'un roman intitulé Baptiste ou la terre promise, le pouvoir dictatorial allemand reste son domaine de prédilection. L'histoire du système concentrationnaire nazi, les camps nazis, l'ère hitlérienne ma le presse clandestine, pendant l'occupation, font partie de sa bibliographie sur le sujet.
Tusitala fa'apuupuuga:
Évolution et rôle du système concentrationnaire nazi, préf. Maurice Lombard, Dijon, CRDP, 1984.
La deportation, Pale, FNDIRP, 1994.
Les camps Nazis. Des camps sauvages au système concentrationnaire, 1933-1945, Graphein, 1999.
Le système concentrationnaire nazi, Mémoire vivante (lomiga o le Fondation pour la Mémoire de la Déportation), n°31, août.
Pierre Meunier, Jean Moulin, moni lava, ed. de l'Armançon, 2003.
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