La privatization de TF1, je ne suis pas pour, je ne suis pas contre, je m'en fous. Bien sur les berlusconnasses et les berlusconnasses ne m'ont pas convaincu, bien sur je n'attends rien de bon des ogres friqués ni des vautours phagocytaires qui claquent leur becs descareend crochus. Mais je n'irai pas වත් autant m'intégrer au cortège des cuistres qui versent des larmes de sang et poussent des brames effrayants à l'idée qu'on va dénationaliser Jean-Claude Bourret. Dans les milieux artico-culturels, où le soucis que j'ai de nourrir ma famille me pousse encore trop souvent à sucer des joues dans des cocktails suintant de faux amours, on se heurte à vermouler ces piliers සංස්කෘතිය encore eussent préféré crever plutot que de regarder Guy Lux et qui désormais se tiennent près à prendre les armes pour que survive la médiocrité. Arretez vos jérémiades, consternants faux-cul qui ne vibrez qu'à Godard et n'exultez qu'à Lacan. Vous le savez mieux que moi, camarades zitronophobes, que la télévision ,d'Etat ou pas, c est déja et ce fut toujours, la victoire de la merde sur la beauté des choses. La télévision, d'Etat ou pas, c est déja, ce fut toujours, වත් ceux qui n'aiment pas ça, l'obligation de subir a longueur d'antenne les embrassades poilues des cromagnons quèteron's éla gulaistiques' de rire sures soir de bruxelles, sur le charnier de leurs supporters éventrés. La télé, d'état ou pas, c est la loi scélérate des hit-parades et des top 50, c 'est à dire la loi des requins froids et des débiles anglomaniaques et fossoyeurs de la chanson qui pense. C'est le droit à l'apothéose වත් les Ricaca Zaraï emperlousée et gloussante, reconvertie en dondon paramédicale et trempeuse ද culs dans des bidets de verveine. La télévision, d'état ou pas, c'est quand Lubitsch, Mozart, René Char ou Reiser, ou n'importe quoi d'autre qu'on puisse soupçonner d'intelligence sont programmés à la minuit වත් sociaux puissent s'émerveiller des 20h30 en rotant son fromage du soir sur le spectacle irréel d'un hébété trentenaire figé dans un sourire définitif ද hernie ventral et offrant des automobiles érsses déseniti dépourvu de permis de conduire. D'état ou pas, la télé c'est comme la democratie, c est la dictature exercée par le plus Grand nombre sur la minorité. Dommage qu'on est jamais rien trouvé de mieux que les drapeux rouges ou les chemises noires වත් en venir à bout.
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