[A continuación se muestra en francés, pronto habrá una versión en inglés como contribución al Proyecto de reinvención de la sociedad alojado por ZCommunications]
El capitalismo, un paréntesis en la historia
El principio de la acumulación sin fin que define el capitalismo es sinónimo de crecimiento exponencial, et celle-ci, como el cáncer, conducto a la muerte. Stuart Mill, quien lo esperaba, imaginaba que un «estado estacionario» metía un término en este proceso irracional. Keynes comparte este optimismo de
La acumulación, sinónimo también de paupérización, diseño del cuadro objetivo de las luchas contra el capitalismo. Mais celle-ci s'exprime principalement par le contrast grandissant entre la opulencia de las sociedades del centro, los beneficiarios de la renta imperialista y la misère de las células de las periferias dominadas. Ce conflicto devient de ce fait l'axe central de l'alternative «socialisme ou barbarie».
El capitalismo histórico "réellement existant" está asociado a las formas sucesivas de acumulación por desposesión, non pas seulement à l'origine ("la acumulación primitiva") sino a todas las etapas de su despliegue. Una vez constituido, este capitalismo «atlantico» es parte de la conquista del mundo y de la refaccion sobre la base de la permanencia de la depossession des régions conquises, devenant de ce fait les périphéries dominées du système.
Esta mundialización «victoriosa» ha demostrado ser incapaz de imponer una manera duradera. Un demi siècle à peine después de son triomphe, qui pouvait déjà paraître inaugurer el « fin de l'histoire », elle était déjà remise en cause par la révolution de la semi périphérie russe et les luttes (victorieuses) de libération de l'Asie et de l'Afrique qui ont fait l'histoire du XX ième siècle – la première vague de luttes pour l'émancipation des travailleurs et des peuples.
L'accumulation par depossession se poursuit sous nos yeux dans le capitalisme tardif des oligopoles contemporains. Dans les centres la renta de monopole dont benéficient les ploutocraties oligopolistiques es sinónimo de desposesión del conjunto de la base productiva de la sociedad. Dans les périphéries esta desposesión paupérisante se manifiesta por la expropiación de los paysanneries et por el saqueo de los recursos naturales de las regiones interesadas. L'une et l'autre de ces pratiques constituyente les piliers essentiels des stratégies d'expansion du capitalisme tardif des oligopoles.
Dans cet esprit, je place la « nouvelle question agraire » au cœur du défi pour le XXIe siècle. La depossession des paysanneries (d'Asie, d'Afrique et d'Amérique latine) constituye la forma mayor contemporánea de la tendencia a la paupérización (en el sentido de que Marx donne à cette «loi») asociada a la acumulación. Sa mise en œuvre est indisociable des stratégies de captation de la rente impérialiste par les oligopoles, avec ou sans agro carburants. J'en déduis que le développement des luttes sur este terreno, les réponses qui seront données à travers elles à l'avenir des sociétés paysannes du Sud (presque la moitié de l'humanité) comandanteont largement la capacité ou non des travailleurs et des peuples à produire des avancées sur la ruta de la construcción de una civilización auténtica, liberada de la dominación del capital, para que je ne vois pas d'autre nom que celui du socialisme.
El saqueo de los recursos naturales del Sur que exige la provisión del modelo de consumo gaseoso en beneficio exclusivo de las sociedades opulentes del Norte annihile toda perspectiva de desarrollo digna de este nombre para las personas preocupadas y constitutiva de este hecho en el otro rostro de la paupérización. à l'échelle mondiale. Dans cet esprit la «crise de l'énergie» n'est pas le produit de la raréfaction de ciertos des resources nécessaires à sa production (le pétrole bien entendu), ni davantage le produit des effets destructeurs des formes énergétivores de production et de consommation en vigor. Esta descripción – correcta – no va au-delà des évidences banales et immédiates. Esta crisis es el producto de la voluntad de los oligopolos del imperialismo colectivo de asegurar el monopolo del acceso a los recursos naturales del planeta, que las células son raras o pas, de manera de apropiarse de la renta imperialista. , quand bien même l'utilization de ces resources demeurerait ce qu'elle est (gaspilleuse, énergétivore) ou serait soumise à des politiques « écologistes » correctives nouvelles. También es evidente que la estrategia de expansión tardía del capitalismo de los oligopolios es necesaria para la resistencia grandiosa de las naciones del Sur.
La crisis actual no es donc ni una crisis financiera, ni la somme de crisis systémiques multiples, mais la crisis du capitalisme imperialiste des oligopoles, dont le pouvoir exclusif et suprême risque d'être remis en cuestión, esto dos veces más, a la vez par les luttes de l'ensemble desclasses populaires et par celles des peuples et Nations des périphéries dominées, fussent elles en apparence «émergentes». Elle est simultanément una crisis de l'hégémonie des Etats-Unis. Capitalismo de los oligopolos, poder político de las oligarquías, mundialización bárbara, financiarización, hegemonía de los Estados Unidos, militarización de la gestión de la mundialización al servicio de los oligopolos, decadencia de la democracia, pillaje de los recursos del planeta, abandono de la perspectiva del desarrollo. du Sud sont indisociables.
Le vrai défi est donc le suivant: ces luttes parviendront-elles à converger pour ouvrir la voie – ou des vias – sur la longue route à la Transition au socialisme mondial ? Ou demeureront-elles separées les unes des autres, voire entreront-elles en conflit les unes contre les autres, et de ce fait, inefficaces, laissant l'initiative au capital des oligopoles ?
Una larga crisis al otro
L'effondrement financier de septiembre de 2008 probablemente sorprenda a los economistas convencionales de la «mundialización heureuse» y désarçonné quelques uns des fabricants du discours liberales, triunfantes después de «la chute du mur de Berlin», como un coutume de le dire. Si, por contra, el evento no nos sorprende – nous l'attendions (sans bien sûr avoir prédit sa date, comme Madame Soleil) – c'est tout simplement parce que pour nous il s'inscrivait naturalllement dans le développement de La longue crise du capitalisme vieillissant, amorcée dans les années 1970.
Il est bon de revenir sur la première longue crisis du capitalisme, qui a façonné le XX ième siècle, tant le parallèle entre les étapes du développement de ces deux crisis is saisissant.
El capitalismo industrial triunfante del XIX ième siècle entre en crisis a partir de 1873. Les taux deprofits s'effondrent, pour les raisons mises en évidence par Marx. El capital real es parte de un doble movimiento de concentración y expansión mundial
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